De la réception, de sa variabilité et de sa relativité.

Parmi les rares retours de lecture de mes Diaboles (Lurlure, 2020), je note ces appréciations de deux grands lecteurs et auteurs de poésie. L’un : « la contrainte arithmonyme vous aide bien, vous aide à canaliser, à structurer, et sans doute aussi à relancer. Ainsi êtes-vous porté ! » L’autre : « Je ne suis pas sûr en revanche que le choix du vers arithmonyme convenait à votre projet : il limite souvent votre élan, vos envolées syntaxiques ». J’y réfléchis.

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