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In Dézopilant n°45, juin 2022. {...}
In Dézopilant n°45, juin 2022. {...}
v. 1 : « — Pouvez-vous, en un mot, nous donner votre définition de la poésie ? — Ni en un mot ni en cent. C’est un secret. Un si grand secret que je ne le connais pas moi-même. La seule chose que je puisse vous révéler à ce sujet, {...}
Tiens, je suis dans le journal. {...}
Peu après, je fondai L’Orchestre infini, revue littéraire et groupe « surréaliste », tout en créant un style vestimentaire qui n’eut étrangement pas d’adeptes. {...}
En 1991, j’avais 17 ans, je commençais à me laisser pousser les cheveux et les rouflaquettes et je me piquais de poésie. {...}
Parmi les rares retours de lecture de mes Diaboles (Lurlure, 2020), je note ces appréciations de deux grands lecteurs et auteurs de poésie. L’un : « la contrainte arithmonyme vous aide bien, vous aide à canaliser, à structurer, et sans doute aussi à relancer. Ainsi êtes-vous porté ! » L’autre {...}
Ces temps derniers, je me disais que, décidément pas de chance : alors qu’un jour je me suis décidé, enfin, à envoyer un manuscrit à un éditeur et que ça a donné lieu, merveille, à un livre, celui-ci sort juste avant le confinement. Maudit par le covid ! Je vois {...}
Pas mécontent de se voir en bonne compagnie en vitrine de la librairie Vendredi (Paris 9). {...}
Puisque chacun ou presque entonne le couplet « Nous avons plus que jamais — même obnubilés par l’info et happés par le réseau — besoin de livres dans le confinement et malgré les fermetures de librairies on peut commander en ligne via telle honnête plateforme ou grâce au site de {...}