v. 1 : « — Pouvez-vous, en un mot, nous donner votre définition de la poésie ? — Ni en un mot ni en cent. C’est un secret. Un si grand secret que je ne le connais pas moi-même. La seule chose que je puisse vous révéler à ce sujet, {...}
Je poursuis ma lecture du Cours de Pise (P.O.L., 2018). Aux pages 371-375, Emmanuel Hocquard propose (en 2002) une contrainte d’écriture qu’il baptise éponge. Il s’agit de prendre un texte déjà écrit et, dans un premier temps, de le soumettre à un équarrissage. Par exemple, ce début d’article de presse {...}
Emmanuel Hocquard, c’était le genre de mec, à la fin des années 90, à regarder les Guignols de l’info sur Canal+, à choper à la volée l’expression « à l’insu de mon plein gré » et à contribuer à sa popularité en la répétant à des étudiants en Beaux-arts. La preuve {...}
Une « expérience d’idiotie, qui est aussi une expérience de déconnexion » (Emmanuel Hocquard). L’autre jour, en sortant à 17h30 de mon atelier d’écriture avec les enfants, je décide de passer par un supermarché pour des achats essentiels (fromages, bières, café, quoi d’autre ?). En voyant les viennoiseries à l’entrée {...}
